lundi 31 janvier 2011
La grande marche vers Superalko / The great way to Superalko
Vendredi lever 6h. Mais POURQUOI ?
Tallinn bien sûr !
Bon avant il faut quand même attendre tout le monde au meeting point, ce qui inclut les éternel(le)s retardataires (hum français peut-être...) et prendre le train, le bus (ou plutôt se tasser bien comme il faut dans le bus), marcher jusqu'au quai et là TA-DAH : le terminal avec ses grands airs d'aéroport pas mal rempli mais on garde la pêche l'Estonie c'est dans pas long.
Le bateau, vraiment sympa pour le prix (15€ aller retour) au premier abord.
Direction le "sud" avec en prime le lever de soleil sur la mer gelée, petit tour sur le pont en bons touristes pour faire quelques photos et nous voilà prêts à rattraper les heures (journées ?) de sommeils manquants !
SAUF QUE on ne nous avez pas prévenu que le bal musette allai s'installer juste à côté de nous... Certes on était dans le coin disco-bar mais à 9h du matin ! Et voilà donc que nos chers finlandais, estoniens, russes, etc. s'en donnent à coeur joie avec leurs déhanchés sexy et leur bière/vodka/mintu/vin ultra-matinaux.
Vient l'heure du grand débarquement et l'ascension (oui oui je choisis mes mots) de la colline menant à la vieille ville. Bon la vieille ville est très mignonne, pleine de couleurs quoique déserte à cette époque et assez petite.
Tout le monde a faim évidemment à midi direction le "restaurant" "italien" avec ses quatre portions de pâtes réchauffées au micro-ondes et son vin, hum comment dire, qui assomme bien comme il faut ! Trois plombes pour payer l'addition mais on va pas chipoter...
Petite ballade dans le reste de la ville (toujours en mode touriste) puis on se dirige tranquilos vers le port ; le but étant de trouver le désormais célèbre Superalko aka le magasin d'alcools moins cher que les autres. Évidemment on est à la bourre, on "court" dans tous les sens, les gens connaissent pas trop... bref c'est la déception ET LÀ un panneau "Superalko 50m" : wouhou !
La ruée vers l'or pour certain(e)s, on fait nos emplettes pour les 1/2/3/4 prochains mois (semaines) dépendamment des personnes. Le portefeuille un peu trop léger et les sacs/chariots bien remplis il est (vraiment) temps de retourner au bateau MAIS avec 10kg supplémentaires impossible de courir, le taxi s'impose. Le conducteur nous arnaque bien avec ses 8€ pour 500 mètres (littéralement aller de l'autre côté du port) mais en attendant on est sûr de pas coucher à Tallinn le soir-même !
Au retour rebelote avec le bal musette entrecoupé de "pauses dj" qui nous font vibrer comme des fous mais cette fois-ci on a ce qu'il faut pour être dans l'ambiance (comprenez ici nos petits achats de la journée...).
samedi 22 janvier 2011
Marche droit / Walk the line
Ce qu'il y a de bien à Helsinki c'est qu'on a jamais l'impression de voir la même chose alors qu'en fait... si ! Non allez j'exagère il y a bien des variations. Quand il fait soleil par exemple... ok mauvais exemple.
À Helsinki ce sont les bâtiments qui font office de "soleil" et ravivent le "blanc" (gris-marron sale-beige dégueulasse appelez ca comme vous le voulez ) de la neige.
Mais le neige ça a ses avantages aussi... comme... euh... rendre les lacs tout blancs et donc complètement inutiles ?.. euh... rendre le verglas invisible donc potentiellement glissable (oui j'invente un mot)...
LES PAYSAGES !!! Inédits, sortis de nulle part, insolites.
Helsinki c'est aussi le shooooooping ! Non en fait pas vraiment, les petits
magasins/marchés/trocs il faut bien les chercher. Mais quand on les trouve (après des heures de trek dans le désert...) il y a de bonnes surprises, oui oui !
Le Old Market Hall (Wanha Kauppahalli en VO) pour les aventuriers culinaires (et aussi les affamés)
Le Moko market & café (Perämiehenkatu 10) : pour les bobos en mal de salade bio-naturelle-diététique-à-15-euros-les-10-grammes direction le café/bistrot et pour ceux qui pensent faire une bonne affaire en achetant un meuble -imitation-vintage-made in china- à 1000 euros direction le magasin
Helsinki c'est aussi la culture ! Bon je vais pas vous faire tout un baratin sur cette petite cathédrale (Uspenski de son joli nom), les photos parlent d'elles-mêmes !
(J'avoue un peu maigre cette rubrique culture mais le remplissage ne saurait tarder)
samedi 15 janvier 2011
Quand avez-vous serré quelqu'un dans vos bras pour la dernière fois ?/When was the last time you hugged someone ?
Voilà la question que nous avons dû posée aux finlandais.
Ba oui ils sont réputés pour être très distants et assez réticents aux embrassades mais des réponses que l'on a obtenues ça en pas l'air !..
Rectification : des cinq réponses. Les autres nous fuyaient avant même que l'on puisse ouvrir la bouche ! Ok le contact humain c'est pas trop leur truc.
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That was the question we had to ask finnish people.
Because they are famous for being distant and not very fond of hugging and kissing but from the answers we got it doesn't seem so !..
Correction : from the five answers. The other ones were just running away before we could open our mouth ! Ok so human interaction is not really their thing.
jeudi 13 janvier 2011
La mauvaise clé / The wrong key
Non il ne faut pas croire que si jusqu'à présent j'étais silencieuse c'est que j'étais trop occupée à découvrir la ville.
Hum hum
12 janvier
D'abord il y a eu l'épreuve du tirage/roulage-de-valises-dans-la-neige. Je vous le déconseille, surtout dans les montées... Bon passons après tout un peu de sport ça ne fait jamais de mal !
Ensuite vient le moment tant attendu des courses : FAMIIIIIIIIIIINE. À côté de la station de train, très pratique mais juste trop petit. Mais, euh, il est où le pain ? Bah y en a pas ! Eh oui la tradition du pain de mie quotidien a traversé l'atlantique.
Et là le moment-clé (cette expression n'a jamais été aussi bien choisie), je décide de mettre la plus petite des deux différentes clés que l'on m'a donnée pour ouvrir la porte principale de l'immeuble. ERREUR ! La clé reste coincée dans la serrure. Grand moment de solitude lorsque j'appelle l'organisme qui s'occupe de l'immeuble puis le numéro d'urgence (incendie, plomberie qui saute...) : personne ne décroche. Donc je repars comme si de rien n'était (oui quelqu'un qui avait pitié de moi a ouvert de l'intérieur).
Morale de l'histoire : laisse faire !
La clé a mystérieusement été enlevée et posée à côté de la porte.
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No you should not blieve that if i've been silent it's because i was enjoying the city...
Jan 12
First there was the pulling/rolling-of-the-suitcases-in-the-snow. I advise you not to try, especially if there's a hill involved... Anyway a little sport never killed anyone !
Then the moment i've been waiting for long : the grocery store. Just right next to the train station, very convenient but too small. Ok so now where's my french baguette ? You don't have any ?! For sure the sandwich loaf bread followed me all over the atlantic, damn.
And now the key-moment (this expression cannot be more appropriate), i decide to put the smallest of the two different keys i was given to open the main door of the building. WRONG. The key is stuck in the lock. Loneliness feeling for a looooong time when trying to call the apartments office and the emergency number (in case of fire, broken window) and nobody answering (emergency number, really ?!). So i'm going like a thief (yes someone who took pity on me opened the door from inside).
The moral of all this : laisse faire !
Misteriously the key got removed and put next to the door.
dimanche 9 janvier 2011
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